J’apprécie tous les efforts qui ont été faits et les quelques millions d’euros qui ont été apportés. Mais les instituts français et les alliances françaises sont aujourd’hui forcés de licencier, car c’est en faisant des économies sur leur masse salariale qu’ils réussissent à survivre, notamment pour payer les loyers des bâtiments.
Des professeurs locaux voient ainsi leur carrière s’arrêter, alors qu’ils travaillent souvent dans ces structures depuis des décennies. Ces amendements visent donc principalement à éviter les plans de licenciement en cours.