Je vous remercie de votre réponse, madame la ministre.
Toutefois, au vu de la pandémie actuelle et d’autres qui, malheureusement, pourraient survenir dans le futur, nous avons besoin d’un vrai service public de la santé. Il faut donc anticiper les structures d’accueil, et c’est pourquoi je ne puis pas me satisfaire de cette réponse.
La fusion avec la maison de santé protestante de Bordeaux-Bagatelle se fait sur un site restreint de 7 hectares, alors que l’hôpital Robert-Picqué en couvre 25, et, selon les calculs, 600 emplois seraient perdus – c’est un nombre très élevé !
En outre, à ma connaissance, l’hôpital Robert-Picqué est le seul centre de traitement des blessés radio-contaminés, en convention avec les centres nucléaires de Blaye et de Golfech.