Ces amendements identiques portent sur le même sujet que les précédents.
Pour compléter les arguments avancés par mes collègues, j’ajoute que, afin de mettre en œuvre votre plan de relance forestier, monsieur le ministre, et d’aller à la rencontre des 3, 5 millions de petits propriétaires forestiers, nous avons besoin de moyens et de ces 341 agents du CNPF, dans les territoires.
Pour entrer dans les critères d’éligibilité du plan de relance, il faut regrouper les travaux, puisqu’il faut atteindre un minimum de 1 million d’euros sur 300 hectares. Par conséquent, si les agents du CNPF ne sont pas là, en lien avec les entreprises de travaux forestiers, qui postuleront à ce plan, un certain nombre de petits propriétaires ne s’inscriront pas dans cette démarche.
Cet apport d’ingénierie est absolument essentiel pour faire prendre conscience à ces petits propriétaires, dans les territoires, de l’enjeu d’une gestion forestière durable, ainsi que du reboisement et du repeuplement de leur parcelle.