Je soutiens très fortement cet amendement et j’ajouterai deux arguments à ceux qui ont été avancés.
Premièrement, il vaut mieux que le financement des clubs sportifs dans les quartiers soit assuré par la puissance publique, que ce soit les collectivités locales ou l’État, plutôt que de laisser les responsables de ces clubs aller chercher des fonds ici ou là…
Deuxièmement, comme l’a rappelé Mme Valérie Létard, seule une enveloppe globale regroupant l’ensemble des actions, comme nous l’avions proposé dans le cadre d’amendements défendus au moment de l’examen du plan de relance, peut nous permettre d’agir vite et de donner de la souplesse aux territoires. Il s’agit de donner aux maires, aux préfets et aux autres acteurs locaux des marges de manœuvre pour déterminer les priorités, parmi lesquelles figurent l’éducation, le sport et la santé.