Vous faites une analyse extrêmement concrète et précise de l'état actuel de la profession d'avocat. Dans votre propos liminaire, vous nous avez dit que ce ne serait pas un énième rapport. Vous connaissez particulièrement bien le fonctionnement de la Chancellerie, et vous êtes allé voir le garde des sceaux actuel, qui vous a promis que ce rapport ne dormirait pas dans un tiroir du sommeil de l'oubli... Nous aimons beaucoup la poésie, mais, en pratique, le ministre vous a-t-il donné un calendrier précis de la mise en oeuvre de ces préconisations ?