Je voudrais dire mon désaccord avec mon collègue Olivier Cadic. Il me semble normal que l’AEFE, qui est la maison mère, en quelque sorte, de tous les établissements d’enseignement français à l’étranger, soit partie prenante à la politique immobilière. Nous avons un plan de doublement du système éducatif français à l’étranger, dans les cinq à dix années qui viennent. L’AEFE sera au cœur de ce dispositif. Ce serait une très mauvaise idée, je pense, de lui retirer ce droit de contrôle et de gestion des prêts immobiliers.