Je partage ces propositions. Je voudrais préciser à l'attention de Jean-Yves Leconte que mentionner le Pacte migratoire dans cet avis politique ne veut pas dire que ce dernier empiète sur les travaux que lui et moi avons entamés sur le Pacte. Les conclusions que nous soumettrons à la commission seront bien plus complètes. Il est difficile de ne pas parler de frontières sur un sujet relatif à la sécurité. Bien sûr, nous ne devons pas lier migration et insécurité, mais nous ne pouvons pas non plus passer sous silence la question migratoire. Notre texte est donc un compromis. En revanche, il me semble que notre avis politique pourrait utilement rappeler les compétences nationales en matière de sécurité.