Dans la foulée de M. Gontard, j’estime que faire une étude d’impact, c’est évaluer les « plus » et les « moins ». C’est bien ce qui nous manque aujourd’hui, parce que la prise de décision ne s’est pas adossée d’une manière suffisamment solide sur les perspectives du déploiement de la 5G en termes d’avantages et d’inconvénients.
La proposition qui est faite – je rejoins M. Gontard –, c’est bien de se donner les moyens d’évoluer. Pourquoi parler d’une temporalité de six mois – de notre côté, nous faisons une proposition plus particulière – alors que nous manquons justement aujourd’hui d’éléments pour faire un constat suffisamment objectif ?
Or cette évaluation doit être faite pratiquement en temps réel pour objectiver l’analyse que l’on peut faire de ces éléments dans les « plus » et dans les « moins ». Pour reprendre la déclaration de M. le secrétaire d’État, il est tout à fait pertinent d’évaluer un impact non pas d’une manière subjective, uniquement dans les « moins », mais également dans les « plus » : d’où cette proposition qui paraît tout à fait justifiée.