Monsieur le président Saleh, vous l'avez évoqué dans votre propos introductif, le 23 octobre dernier, par la voix de son Secrétaire général Antonio Gutteres, l'ONU a appelé à la mise en place d'un mécanisme d'observation et de contrôle du cessez-le-feu. Or, un certain nombre d'acteurs de la crise, et notamment la Russie, contestent la mise en place de ce mécanisme. Pensez-vous qu'il soit possible de mettre en place un tel mécanisme et à quelles conditions ? Selon vous, quel mécanisme pourrait faire l'objet d'une acceptation plus large que celui présenté par le Secrétaire général des Nations unies ?