Nous espérons qu'à l'avenir les visites couvriront la totalité de la Libye et pas seulement la capitale libyenne. L'est du pays constitue 51 % de la superficie totale de notre pays contre 33 % pour le sud. En visitant un cinquième de notre territoire, vous n'avez pas réellement pu observer la réalité libyenne. Concernant les entreprises, c'est surtout dans l'est que nous avons besoin de reconstruction sous le contrôle de l'armée nationale libyenne. Nous pourrions organiser une visite préliminaire en Libye qui permettrait à nos hommes d'affaires de se rencontrer. Dès lors que nous disposerons d'un exécutif fort, des opportunités de business se feront jour. Nous aurons bien évidemment besoin de l'expertise française à la fois sur le plan juridique, constitutionnel, mais également dans le domaine des affaires.