Je partage les grands axes qui ont été présentés. Je voulais intervenir sur le sujet de la santé mentale des étudiants. Cet aspect, qui était un tabou, doit être abordé, et pas seulement sous l'angle culturel, qui affecte plutôt les plus âgés. Il me semble qu'on peut investir ce sujet de la santé mentale des étudiants en université, comme je l'ai fait pour la prison. On peut le faire en écoutant les étudiants eux-mêmes - pas seulement les syndicats - et en mobilisant des experts.