Dans un tweet, vous indiquiez avoir eu des « discussions nourries » dès le 6 mai. Entre des « discussions nourries » et un soutien réel, tangible et financier, je comprends la décision que l’entreprise Valneva a malheureusement dû prendre.
À mon sens, cette pandémie montre, hélas ! un échec cuisant de la France en matière de recherche. Une note très intéressante du Conseil d’analyse économique en fait d’ailleurs état.
L’échec est patent aussi en matière de soutien aux entreprises. Il se manifeste par une incapacité à sortir de procédures d’une lourdeur terrifiante.