Je rejoins madame la présidente sur la liberté des communes de pouvoir investir sur leurs propres projets, car elles savent ce dont leur territoire a besoin. Il faudrait davantage de souplesse. Par ailleurs, les départements sont manifestement très impactés par la crise et il faut mener une réflexion pour leur permettre de sortir de l'ornière. Peut-être pourrions-nous réfléchir sur des charges qui leur sont indues ? Par exemple, les carences ambulancières représentent 300 000 euros pour le département de l'Indre. L'intervention est plus coûteuse qu'elle n'est remboursée. La gestion des mineurs isolés est également très coûteuse. L'État devrait accompagner les départements sur ces charges, qui relèvent aussi de sa compétence.