Ces nouvelles prérogatives me paraissent déjà incluses dans la mission générale de conseil des pharmaciens et dans les avancées actées par la loi Santé de juillet 2019 : celle-ci a autorisé les pharmaciens, dans le cadre de protocoles inscrits dans un exercice coordonné, à délivrer pour certaines pathologies des médicaments dont la liste est fixée par arrêté, pris après avis de la Haute Autorité de santé.
Les cystites pouvaient notamment être visées d’après les débats parlementaires.
Cet amendement me semble satisfait. J’en demande donc le retrait ; à défaut, l’avis serait défavorable.