Le Gouvernement propose de supprimer la possibilité pour les communes de conclure une convention préalable permettant une mise en commun plus rapide des services de police municipale en cas de catastrophe naturelle.
Même si la mesure envisagée risque de ne s’appliquer que rarement, on comprend bien ce qui la motive.
Dans la mesure où le représentant de l’État est signataire de la convention, celle-ci nous paraît bénéficier de toutes les garanties possibles. La modification suggérée par le Gouvernement ne nous semble donc pas utile.
Par conséquent, la commission émet un avis défavorable sur cet amendement.