Dans sa rédaction actuelle, le texte prévoit que les mêmes peines seront applicables en cas de provocation à identifier le conjoint, le partenaire lié par un pacte civil de solidarité, le concubin ou l’enfant d’un policier ou d’un gendarme.
Cette liste nous paraît incomplète, dans la mesure où elle ne prend pas en compte les parents ascendants des agents.