La portée de l'amendement n° 382 rectifié est moindre que celle de l'amendement de Philippe Dallier, que nous avions écarté en commission, mais il partage la même philosophie. Il s'agit de demander un plan de financement prévisionnel. Ici, l'idée est d'imposer plus de transparence, sans en faire une condition de délivrance des autorisations d'urbanisme. Cette disposition a déjà été votée par le Sénat dans la loi pour un État au service d'une société de confiance (Essoc), mais elle avait été supprimée à l'Assemblée nationale. Avis plutôt favorable.