Monsieur le ministre, vous avez parlé de courage ; or la semaine dernière, le Sénat a eu, à mon sens, le courage dont vous n’avez pas fait preuve dans ce texte, à savoir celui de pointer là où il y avait du séparatisme.
Aujourd’hui, le courage, c’est d’aller chercher les enfants qui sont entre les mains d’islamistes qui les isolent de la société, d’aller les chercher, eux, sans pénaliser les autres. Voilà, monsieur le ministre, ce qu’il faut faire dans ce projet de loi.
Le Sénat a bien eu le courage que le Gouvernement, lui, n’a pas eu.