Pour rester cohérent avec mes positions précédentes, qui sont aussi parfois les vôtres, il me semble important de permettre à l’éducation nationale d’agir rapidement et efficacement pour mettre fin à des situations de risque pour l’enfant.
Par ailleurs, l’éventuelle décision de l’éducation nationale est parfaitement attaquable en justice. Des garanties sont donc offertes. Il faut respecter la présomption en faveur des droits de l’enfant, quelle que soit la situation.
Pour ces raisons, je suis défavorable à ces deux amendements.