Tout à fait, monsieur le rapporteur général, et c’est encore plus grave, car, du coup, il n’y a plus de date ! La date est en fait subordonnée à un accord européen dont on ne sait pas quand il interviendra.
Pour notre part, nous voulons que la France négocie avec le mandat d’aboutir au 1er janvier 2011. C’est exigeant. Je l’ai dit, le temps des marchés n’est pas celui de la démocratie : leur laisser du temps, c’est leur permettre de s’organiser et, en général, ils sont très bons pour le faire.