La question transfrontalière est éminemment complexe. Je suis co-président d'un groupement européen de coopération territoriale (GECT) avec la Flandre occidentale belge. Nous avons beaucoup de difficultés à développer des projets qui soient concrets et opérationnels. Il y a donc encore beaucoup à faire pour faciliter les interventions transfrontalières en mettant en place un certain nombre d'outils. Nous essayons de travailler avec nos homologues des pays frontaliers : à la base, ce n'est pas simple, car les cultures et les compétences ne sont pas identiques. Une simplification à l'échelle européenne serait la bienvenue et nous avançons trop doucement sur ce sujet.