Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse.
Je me permets d’insister sur l’importance du dossier viticole. Vous le savez, les viticulteurs et les arboriculteurs de notre pays ont subi tous les préjudices économiques, qu’il s’agisse de la pandémie ou de la taxe Trump. Ce dernier problème n’est toujours pas résolu. Un délai de quatre mois a été fixé ; j’espère qu’une issue favorable sera trouvée.
À force de s’empiler, toutes ces difficultés vont finir par tuer nombre de petites entreprises viticoles ou arboricoles !