Merci, monsieur le ministre.
Je suis d’abord satisfait d’entendre que vous êtes très favorable à l’élevage de plein air. Maintenant, effectivement, il faut que les politiques suivent, puisque cet élevage de plein air a souvent été délaissé, constituant un angle mort des politiques agricoles.
C’est bien dommage, car nous le voyons avec ces épisodes sanitaires, quel que soit le type de virus, l’élevage de plein air est celui qui est le plus résilient. C’est aussi vrai pour des questions de transport, car ce type d’élevage induit une organisation en circuits courts. Or l’on sait que les transports, qui influent aussi sur le bien-être animal, sont à l’origine de la propagation de ces virus.
Monsieur le ministre, je vous encourage à mettre le paquet sur l’élevage de plein air !