Une fois cela posé, je considère qu’il faut surtout dissocier les politiques, comme vous le proposez. Il existe, en effet, des politiques sociales de soutien et des politiques d’accompagnement de nos agriculteurs. Par conséquent, il convient non seulement de créer de la valeur, mais aussi de répartir la valeur créée entre la grande distribution, les industriels et les agriculteurs, et cela sans aucune naïveté, car pour l’instant cette répartition se fait sur le dos des agriculteurs. Nous devons, enfin, développer une politique sociale.
Si nous voulons réussir, ces trois objectifs doivent s’inscrire dans une approche dissociée. Il est important de parvenir à exposer cette stratégie, mais elle reste compliquée à mettre en œuvre. C’est pour cela que je me bats, et je suis certain que nous partageons la même vision sur ce point.