Madame la secrétaire d’État, je siège, avec mon collègue Guillaume Chevrollier, au Comité national de l’eau. Nous y avons beaucoup entendu ce discours sur l’apaisement du débat et la nécessité de trouver ensemble les meilleures solutions…
Or les représentants des associations de sauvegarde des moulins, qui ont des connaissances techniques très précises – ils m’ont beaucoup appris en la matière –, ne parviennent pas à siéger dans ces instances. Le débat serait certainement plus apaisé s’ils pouvaient s’asseoir à la table de la discussion !
En général, on crée un sous-groupe de travail au sein duquel ils peuvent s’exprimer, mais il est très difficile de faire remonter leurs propos. Il ne s’agit pas du tout d’excités, au contraire ! Il faudrait les considérer comme des partenaires à part entière et les laisser siéger à nos côtés. Leur frustration actuelle n’apaise pas le débat.