Certains établissements ont perçu des aides, notamment du fait de l'absence de chômage partiel. Ce ne sont pas tant les lycées qui ont généré des déficits que les activités économiques qui ont été perturbées en formation continue et dans les exploitations et les ateliers. Comment faire pour compenser ces pertes sèches ? C'est ce qui a prédominé dans l'affectation des fonds. La manière dont cela a été traité, au regard de l'évolution de la situation, a conduit à une distribution au regard de critères que nous ne sommes pas en mesure de détailler.