Vos derniers mots me réjouissent, monsieur le ministre, mais j’espère qu’ils seront suivis d’effets.
D’après les propos qui sont rapportés d’Arménie, au-delà du non-respect de la convention de Genève, on continue de torturer et de filmer les actes de torture, et l’on continue d’envoyer ces scènes sur les réseaux, afin de torturer également les familles arméniennes. Cela aussi, il faut le dénoncer.
Pour ma part, je déposerai au Sénat une proposition de résolution invitant à prendre position en faveur de la libération des prisonniers arméniens. Ce serait un signal fort pour nos amis arméniens, mais, c’est clair, ce ne sera pas suffisant.
La France ne peut pas rester neutre à ce sujet, car, soyons-en certains, notre inaction et notre faiblesse d’aujourd’hui forgeront notre impuissance de demain.