Monsieur le secrétaire d’État, vous avez évoqué les vaccins, mais la question des traitements se pose aussi.
Nous parlons aujourd’hui du covid, du traitement de la maladie et de la prévention vaccinale, mais, une fois la pandémie disparue, il faudra continuer de soutenir l’innovation en santé – je pense notamment à l’oncologie, où les besoins sont énormes.
Il ne faudrait pas tout oublier à l’issue de la crise. La recherche française, il faut bien l’avouer, n’est pas en excellent état ; la chercheuse française prix Nobel de chimie de 2020 avait été obligée de quitter notre pays pour pouvoir poursuivre ses travaux…
Je compte sur cet élan pour mettre en place une recherche de qualité à l’échelle européenne, au bénéfice des citoyens.