Je vous donne acte de vos indications, monsieur le secrétaire d’État.
Je voudrais cependant terminer, pour ce qui concerne la souveraineté, par un volet franco-français.
Je suis élu du département du Tarn, où se trouve le siège de l’un des plus importants laboratoires français indépendants, à savoir le groupe Pierre Fabre, qui nous a plusieurs fois réunis, avec l’institut Mérieux et le laboratoire Servier, sous les quinquennats de M. Sarkozy, de M. Hollande et de M. Macron, pour nous dire que la logique budgétaire française de réduction du déficit de la sécurité sociale conduisait à rechercher, pour les médicaments, le prix le plus bas, ce qui ne permettait pas aux industriels d’investir.
Je me permets de transmettre de nouveau ici leur message, qui pointe l’une des causes de nos difficultés actuelles.