… dont voilà un passage façon écriture inclusive :
Le.a poète.sse est semblable au.à la prince.sse des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer.ère ;
Exilé.e sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant.e l’empêchent de marcher.
Inutile de torturer davantage cette œuvre, ces quelques mots ainsi défigurés suffisent à démontrer toute l’absurdité et le danger que représente l’écriture inclusive pour la beauté et la compréhension de dame ou damoiselle langue française.