Vous avez annoncé le 1er avril dernier la revalorisation des salaires des aides à domicile, de l'ordre de 15 % de la masse salariale. Mais cette revalorisation, qui est attendue, ne concernera pas les salariés des entreprises de service à la personne qui sont pourtant quelque 200 000. Comment justifier la préférence accordée aux associations ? Les entreprises sont exaspérées et désemparées.
Quel sera le rôle de la CNSA dans le cadre du virage domiciliaire ? Jouera-t-elle un rôle opérationnel local à l'instar des caisses d'allocations familiales (CAF) ?