Comme je l’indiquais dans mon intervention en discussion générale, il existe aujourd’hui des quartiers d’évaluation de la radicalisation et des quartiers de prise en charge. Des programmes tendant à la réinsertion y sont mis en œuvre, en particulier dès qu’une dangerosité ou une radicalisation potentielle est décelée.
Je rappelle par ailleurs que l’alinéa en question correspond à une condition posée par le Conseil constitutionnel. De ce fait, si cet amendement était retenu, nous repartirions pour un tour, si vous me permettez cette expression, et nous perdrions par conséquent beaucoup de temps.