Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse.
Certes, il y a les textes, l’encadrement administratif et juridique, mais il y a aussi la réalité de terrain. Les exploitants attendent, je vous l’assure, un soutien de votre part ; leur situation devient dramatique. Dans ce contexte de crise sanitaire, où l’on pourrait presque dire que les aides coulent à flots pour d’autres secteurs, ils se sentent un peu abandonnés, alors qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’apparition de la maladie.
Je vous remercie d’accorder une attention toute particulière à ce dossier et d’y consacrer du temps, afin que nous puissions trouver des solutions ad hoc et accompagner nos éleveurs.