Monsieur le secrétaire d’État, je ne doute pas de votre volonté de voir aboutir ce dossier rapidement. Je suis persuadé que vous comprenez les difficultés des personnes atteintes de ce terrible mal, qui savent qu’un médicament existe, mais qui ne peuvent en bénéficier en France. Leur vie est en jeu !
Je souhaite que l’on puisse très vite proposer de nouveau ce traitement aux patientes qui en ont urgemment besoin.