Madame la ministre, pour moi, votre réponse portant sur la continuité écologique, la biodiversité, l’eau douce, les politiques ciblées au cas par cas, c’est une réponse de Normand : peut-être bien que oui, peut-être bien que non… Bref, rien n’est clair !
Il me semble que les services ne connaissent pas la formule « au cas par cas ». En effet, les concertations avec les propriétaires, comme avec les associations de défense des moulins, sont parfois inexistantes : on leur demande des études dont le coût est nettement supérieur à leurs capacités financières. C’est un véritable drame pour le patrimoine historique et pour la production d’hydroélectricité.
Nous aurons sûrement l’occasion d’y revenir lors de l’examen du projet de loi Climat et résilience. Il faut que les choses soient plus claires pour les administrations, qui doivent mener une concertation dans le respect de toutes les parties.