Madame la ministre, je vous remercie de ces éléments de réponse. Je ne vous cache pas qu’ils ne me satisfont pas complètement, car on sent tout de même un certain attentisme de la part de la Dirif, qui tend toujours à reporter, sur la base d’études ou de projets de conventions, des solutions qui, très honnêtement, pourraient être mises en place facilement.
Encore une fois, je tiens à exprimer l’inquiétude grandissante des riverains, notamment des parents d’élèves, puisque cette route est empruntée quotidiennement par des collégiens et des lycéens. Il est urgent d’agir !