Vos prises de position ont mis à jour certains problèmes. S'il existe des réussites, nous avons mis le doigt sur ce qui ne fonctionne pas. On n'est pas arrivé à trouver ce qui pourra déclencher tout le processus et véritablement aider les enfants et leur famille.
Le sujet de la libération de la parole est traité de façon diverse, entre le numéro 30 20 et le référent. Il faudrait un système unique. Vous avez insisté sur le numéro, et il est vrai qu'il y a un problème de communication. Ancienne élue locale et ancienne enseignante, il m'arrive d'aller dans des établissements scolaires, et je n'ai jamais vu de numéro affiché. Je vois bien comment cela doit se passer, il doit y avoir un tableau avec des informations mélangées sans que ce numéro apparaisse clairement.
Or il faut absolument, et le ministère devrait s'y atteler - le DGESCO et le recteur de l'académie de Paris que nous avons reçus hier le savent bien - que ce soit un sujet pris à bras le corps, notamment dans les établissements scolaires, et que les parents et les enfants sachent ce qu'il faut faire en cas de tentative de harcèlement. Pour l'instant, nous n'y sommes pas. Nous allons essayer, par nos préconisations, de faire avancer les choses.
Merci, car par le jeu de vos exposés, des questions et des réponses que vous avez données, nous avons avancé.
Il faut communiquer et convaincre dans le milieu scolaire et les collectivités territoriales. C'est une chose de comprendre, c'en est une autre de mettre en place des moyens et d'obtenir des résultats.