Cette journée dépend du chef d'établissement, qui décide de sa mise en place. Dans le lycée de ma fille, elle existe. Mais une journée pendant toute une année, ce n'est pas assez, pour un thème aussi grave. Nous devrions mobiliser davantage les conseils de la vie collégienne et lycéenne, qui décident du programme de cette journée. En général, en tant que parents, nous invitons les référents harcèlement de la police nationale ou de la gendarmerie, et quelques membres de la cellule. Mais nous aimerions pouvoir profiter de cette journée pour organiser sur cette base une conférence sur les réseaux sociaux et le cyberharcèlement. Il est vrai que l'édifice national ne peut pas non plus former tout le monde, mais ce sujet est suffisamment important pour proposer aux parents d'être formés. Venant de l'établissement, ce serait plus suivi et il y aurait beaucoup plus de monde.