J'ai maintenu cet amendement, car il y a tout de même un principe de réalité. Cette année, après le désherbage, il n'y a pas eu de ventes de livres dans les bibliothèques. Dans beaucoup de communes, pour que les livres ne partent pas au pilon, ils ont été donnés à des organismes comme Emmaüs, ou à des structures de l'économie sociale et solidaire (ESS). La réalité est que des associations à qui l'on aurait pu donner des livres ne peuvent pas les assumer... J'aimerais qu'on réfléchisse à cette solution, trouvée par beaucoup de bibliothèques, même si je comprends bien le principe du droit d'auteur.