Il nous faut évoluer le plus rapidement possible du point de vue de l’alerte des consommateurs, en disant à ces derniers non seulement d’où viennent les produits, mais encore dans quelles conditions sociales ils sont élaborés. Nous devrions tous avoir à cœur de porter ce sujet ! Or, chaque fois qu’on l’évoque, on nous rétorque soit que ce n’est pas le moment – ce soir même, il est difficile de nous faire entendre sur cette question… –, soit que ce n’est pas le bon véhicule législatif – on nous dit que c’est un « cavalier » législatif –, soit que cela relève de l’échelon européen…
De la même façon que notre pays a été précurseur sur le devoir de vigilance, nous pourrions l’être aussi sur l’affichage des données sociales. Une question se pose donc : comment continuer ce combat ?