Tout d’abord, j’y insiste, nous avons privilégié en la matière des signaux clairs et puissants.
Ainsi, pour l’accompagnement à l’acquisition de véhicules propres, en associant le bonus électrique, la prime à la conversion et les aides des collectivités, un particulier d’Île-de-France peut cumuler jusqu’à 19 000 euros d’aides pour l’achat d’un véhicule propre. De tels montants sont inédits dans l’histoire de notre filière automobile.
En outre, le décret précisera bien que le vélo est inclus dans ces dispositifs : à ce titre, la prime à la conversion sera d’environ 1 500 euros. L’aide à l’acquisition d’un vélo-cargo sera, quant à elle, d’environ 1 000 euros, tant pour les professionnels que pour les particuliers. Le décret dont il s’agit est en cours de préparation.
Enfin, au sujet du reste à charge, je tiens à préciser que le dispositif de microcrédit est maintenant pleinement opérationnel. Il peut soutenir les financements jusqu’à 5 000 euros et permettra d’assurer l’avance de la prime à la conversion.
Grâce à cet ensemble de mesures, les ménages les plus précaires auront réellement accès à ces mobilités nouvelles et propres.
En conséquence, je considère ces divers amendements comme satisfaits et je demande leur retrait. À défaut, j’émettrais un avis défavorable.