Tout d’abord, un travail est fait par les acteurs du secteur pour « verdir » les flottes de navires. C’est notamment le cas de la CMA-CGM, qui mène une politique très volontariste en la matière.
Ensuite, nous mettons le sujet sur la table dans le cadre des réunions de l’Organisation maritime internationale. Nous avons eu l’occasion de le faire l’an passé, et nous continuerons de le faire. Sur ce secteur, sans doute le plus ouvert par nature à la concurrence internationale, il faut faire porter les efforts à l’échelon pertinent.
En conséquence, l’avis est défavorable.