J’ai exactement le même avis, pour les mêmes raisons. À cet égard, je reprendrai l’exemple de la salade niçoise, des lentilles ou du cassoulet du Lot. Il y a là un vrai sujet, mais nous devons nous appuyer sur une base permettant de définir ce que sont les aliments transformés ou ultratransformés.
Il s’agit pour moi d’une préoccupation réelle. Il faut arrêter les produits surtransformés et importés, qui sont de plus en plus consommés, et favoriser les produits frais et de saison. Pour autant, il convient d’agir avec méthode. La première étape, c’est de disposer d’une définition. Nous attendons donc l’avis de l’Anses pour lancer cette politique.