Les arguments sont en effet les mêmes que pour les amendements précédents.
Si un gestionnaire de cantine scolaire, par exemple une entreprise qui travaille dans plusieurs endroits et qui doit gérer un grand nombre de commandes, doit s’assurer que la viande provient d’élevages qui ont une autonomie fourragère ou d’animaux ayant accès à un pâturage, le système devient tout simplement ingérable.
Je me bats tous les jours sur cette question de l’autonomie fourragère – il suffit de regarder le plan Protéines que nous avons mis en place. Pourtant, je crois que nous devons en rester aux labels de qualité et aux axes stratégiques fixés par la loi Égalim, sans entrer dans de trop grands niveaux de détails, qui, même s’ils sont vertueux, ne seront tout simplement pas applicables.