Nous proposons de compléter le rapport gouvernemental prévu dans cet article par l’examen d’une piste supplémentaire pour répondre à l’urgence de la précarité alimentaire et au défi de la démocratisation de l’accès à une alimentation durable. L’idée est celle d’un « chèque déjeuner pour tous », sur le même principe que le titre-restaurant, cofinancé par l’entreprise, l’employeur bénéficiant d’une réduction de charges sociales. L’idée est aussi d’étendre ce dispositif à tous les Français pour ne pas stigmatiser les plus précaires.
Un mécanisme général de grands principes comme celui-là permettrait d’apporter de véritables solutions sans stigmatiser ni être un marqueur social.