Je serai bref, puisque la présentation de mon collègue a été exhaustive. Je veux juste préciser, par souci de transparence, que nous avons travaillé sur ces propositions avec ESS France, Réseau Action Climat et la Fédération nationale d’agriculture biologique.
Je veux insister sur le coût du traitement social de la pénurie et de la précarité alimentaires dans notre pays. Si on le met en perspective, on s’aperçoit qu’un système assurantiel, qui permettrait effectivement d’accompagner les personnes de manière régulière, sans mettre en action une cohorte d’acteurs sociaux, serait peut-être beaucoup plus équilibré que les systèmes actuels. C’est une orientation politique particulièrement intéressante à travailler.