Tout le monde peut être d’accord avec le signal que vous souhaitez envoyer.
On sait que, dans notre pays, il y a une inégalité sociale, souvent doublée d’une inégalité territoriale, qui nous oblige à mettre en place des politiques sociales. Il y a également une inégalité nutritionnelle. D’ailleurs, je parle non pas de chèque alimentaire, mais de chèque nutritionnel. On estime aujourd’hui à peu près à 8 millions le nombre de nos concitoyens qui sont victimes d’inégalité nutritionnelle. On doit vraiment lutter contre cette inégalité, avec, en parallèle, des politiques sociales fortes pour traiter toutes les situations auxquelles nous devons faire face.
Je prends bonne note de ces amendements d’appel, qui me font dire qu’il faut bien distinguer les différents sujets abordés ce soir, mais j’émets un avis défavorable.