Cet amendement, issu d’un travail mené avec les fédérations sportives, vise à prendre en compte la situation des terrains de sport qui, quoiqu’ils ne relèvent pas de la compétition officielle, exigent néanmoins des standards de qualité nécessitant l’utilisation d’engrais de synthèse, par exemple les terrains d’entraînement.
Ces terrains bénéficieraient ainsi d’une dérogation à l’interdiction prévue au présent article. L’amendement tend cependant à accompagner, pour ces espaces, la mise en place de bonnes pratiques environnementales de fertilisation, via l’élaboration concertée d’une feuille de route.
Enfin, cet amendement vise à clarifier la situation des hippodromes et des terrains d’entraînement de chevaux de course, pour s’assurer qu’ils entrent bien dans le périmètre de la dérogation.