Nous sommes plutôt satisfaits de cette irruption du fret ferroviaire dans le débat public ; c’est un élément extrêmement positif. Néanmoins, un certain nombre de dynamiques doivent être confortées.
Je saisis l’occasion de l’examen de cet amendement pour rappeler que le dernier élément en date, dans ce domaine, fut la suppression de la ligne Perpignan-Rungis, contre l’avis des élus locaux et nationaux de l’époque, ainsi que des différents acteurs impliqués, comme le marché d’intérêt national de Rungis. Que comptez-vous faire pour sauver cette ligne, monsieur le ministre ?