Je ne conteste pas que les méthodes et outils utilisés soient transparents et que tout le monde puisse les connaître. Mais les organismes que vous avez évoqués, comme le Conseil supérieur de l’énergie et le Haut Conseil pour le climat, disent eux-mêmes qu’ils ne sont pas suffisamment fiables pour établir un diagnostic permettant de déployer une stratégie.
Vous indiquez que le Haut Conseil ne pourrait pas faire mieux, faute d’effectifs suffisants. Nous allons donc utiliser des thermomètres datés et surannés sous prétexte que l’on ne peut pas les remplacer ? J’ai du mal à comprendre un tel raisonnement !